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LA RÉSURRECTION DE L'ACCORD SUR LE NUCLÉAIRE IRANIEN

Depuis l’invasion de l’Ukraine le 24 février dernier, l’Occident a pris des sanctions économiques et individuelles massives pour asphyxier la Russie. Cela n’est pas terminé. Suite aux scènes d’atrocité découvertes à Boutcha, l’Union européenne n’a pas attendu pour réagir en imposant, dès le 8 avril, une cinquième salve de sanctions économiques impactant timidement le secteur énergétique et plus spécifiquement le charbon et discutant dès le 11 avril d’un sixième train de sanctions. Ainsi, la Russie fait face entre autres au gel des avoirs de nombre d’oligarques proches du pouvoir, de banques (gel de plus de 600 milliards de dollars d’avoirs de la Banque centrale russe) et surtout, à l’exclusion des banques du système de communication interbancaire Swift, les empêchant de procéder à des transactions avec des banques étrangères.

La Russie n’a eu d’autre choix que de riposter : menaces d’expropriation pour les entreprises étrangères entendant quitter le territoire russe, imposition du rouble comme monnaie de paiement des énergies importées par les européens depuis le 1er avril, utilisation de la cryptomonnaie ou encore, rapprochement avec la Chine et l’Iran.

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